Clip Apollon des bacs à sable : « Un garçon du port ».
Texte, musique, claviers : Allan Vermeer
Films, timelapses, réalisation : Allan Vermeer & Samuel Mateu
Tournage réalisé au Tréport (76) d’octobre à novembre 2021.
UN GARÇON DU PORT
Nouveau clip du troisième album Apollon des bacs à sable : « Un garçon du port ».
Texte, musique, claviers : Allan Vermeer
Films, timelapses, réalisation : Allan Vermeer & Samuel Mateu
Tournage réalisé au Tréport (76) d’octobre à novembre 2021.
Après Le sens de la fête, un premier clip auto-réalisé sur et lors du second confinement à l’automne 2020, Allan Vermeer a choisi de retrouver ses terres (et mer) natales pour tourner le second film de son album Apollon des bacs à sable paru en mars dernier. La chanson s’appelle Un garçon du port et sera dévoilée le 5 décembre prochain.
« Qui était le garçon du port ? »
Allan Vermeer connaît bien le Tréport, puisque c’est là-bas qu’il a débuté sa carrière il y a plus de vingt ans. En effet, le jeune garçon de l’époque était la mascotte de la ville, connu pour y chanter des heures chaque dimanche après-midi dans la rue, dans les bars, sur les quais… C’est au Tréport qu’Allan Vermeer a trouvé sa voie, qui l’a mené ensuite à remporter un concours de chant diffusé sur France 2 en 2004, puis à sortir son premier disque (sur lequel figurait une chanson intitulée Le Tréport), à partir en tournées et commencer ainsi son métier de chanteur.
Un hymne au Tréport
Quinze ans et trois albums plus tard, l’artiste ne semble pas avoir oublié d’où il vient. Dans ce clip, outre le choix des mots de la chanson par lesquels l’auteur compositeur interprète nous (re)plonge dans l’ambiance singulière de la station balnéaire (« le quai, la baie, les silhouettes étendues, la mer puis l’horizon, les bouées, le vent, le sable, les cordages, les nœuds, les alluvions ; au-delà les nuages, leurs reflets sur l’eau verte et les cris forts du marché, des poissons goélands, ce ballet … »), il y a les images filmées. Une véritable déclaration d’amour à la ville qui l’a vu grandir.
Allan Vermeer, qui a de nouveau réalisé cette vidéo, est resté cinq jours du mois d’octobre sur le Pont-au-Phare, immobile, pieds nus, muet, sous le regard des passants surpris et de la caméra de Samuel Mateu qui signe les images. Puis il a passé plusieurs jours à traquer la ville et ses quais dans tous leurs états : sous le soleil, la pluie, l’orage, du petit matin brumeux au coucher de soleil, au ralenti ou en « en time lapses » (vidéos accélérées). On y retrouve un Tréport vivant, au ciel changeant ; ses bateaux, ses passants, ses mouettes et, sur le pont, ce mystérieux « garçon du port ».